Cold turkey (délivré da la drogue)

Nick à trente-six ans, il travaille dans un magasin de machines à Los Angeles. Il est marié et père de trois filles. Il fut arrêté pour la première fois à l’âge de neuf ans, et passa la majeure partir des quinze années suivantes en prison. Lorsqu’il avait dix-huit ans il devint un esclave de l’héroïne, passion qu’il garda pendant quinze ans et qui coûta plus de cent dollars par jour, avant d’en être délivré radicalement (sans l’usage d’autres drogues ou d’une médication quelconque pendant la réadaptation).

Cold turkey (délivré da la drogue) Nick Cadena est littéralement un miracle de ce siècle. Si je suis fière de lui aujourd’hui, c’est qu’il est une des raisons pour lesquelles je donne avec joie ma vie en vivant sacrifice, afin de prêcher l’évangile. Nick à trente-six ans, il travaille dans un magasin de machines à Los Angeles. Il est marié et père de trois filles. Il fut arrêté pour la première fois à l’âge de neuf ans, et passa la majeure partir des quinze années suivantes en prison. Lorsqu’il avait dix-huit ans il devint un esclave de l’héroïne, passion qu’il garda pendant quinze ans et qui coûta plus de cent dollars par jour, avant d’en être délivré radicalement (sans l’usage d’autres drogues ou d’une médication quelconque pendant la réadaptation). Un drogué n’est rien moins que beau à voir ! L’usage de la drogue ravage l’esprit et le corps et change une personne en une bête se traînant, malade, tremblante, vomissante, réduite à voler. Le gang dont je faisais partie à neuf and était composé de garçons plus âgés que moi. Mes parents ne savaient rien de mes compagnons jusqu’à ce qu’il fût trop tard pour intervenir. La plupart de ces jeunes buvaient, fumaient, et respiraient de la colle. Quelques jours avant mon dixième anniversaire, je fus arrêté par la police avec quelques-uns de mes camarades. Dès lors, je fus plus souvent en prison qu’en liberté.  Tout en passant d’une catégorie du crime à une autre, je grimpais l’échelle des stimulants et des narcotiques. Les pilules stimulantes et leurs cousins dépressifs de toutes couleurs me conduisirent à la marijuana qui devint le tremplin de l’héroïne.  Mes amis me disaient que j’aurais plus de plaisir avec de l’héroïne qu’avec des drogues douces moins stimulantes. Les pilules stimulantes et les dépressives nous laissent toujours avec un sentiment déprimant, de même que la marijuana. En moi s’était développé un épouvantable désir pour quelque chose de plus fort. L’héroïne, me disait-on, est ce qu’il y a de meilleur.  J’avais été condamné à trois ans de prison pour jeunes délinquants, parce que trouvé en possession d’un pistolet employé lors d’un hold-up. Lorsque je fus libéré à l’âge de dix-huit ans, je cherchai un fournisseur de drogue et j’eus ma première piqûre d’héroïne. J’étais devenu un drogué.  Si seulement j’avais pu voir l’avenir s’étendant devant moi comme un horrible et interminable film. Je ne me doutais guère que je resterais, un drogué pendant quinze ans, me traînant le long des rues froides et humides, désirant une piqûre avec tant d’ardeur qu’il me semblait que j’allais en mourir. Je ne savais pas que je passerais des heures solitaires et torturantes dans la cellule, mes entrailles réclamant à grands cris un libération qui ne s’obtient que par la drogue. Je ne pouvais m’imaginer que je mendierais, je déroberais, je volerais même mes propres enfants afin d’obtenir assez d’argent pour payer la prochaine piqûre. Si l’enfer sur la terre existe, il se trouve certes dans le monde des drogués.  Mes quatre dernières années de drogué me coûtèrent de soixante-quinze à cent dollars par jour pour être pourvu de drogue. Il me fallait voler environ cinq fois plus que ce montant pour pourvoir à mon vice car un « receleur » ne donne que vingt pour cent sur le dollar des biens volés. Cela signifie que durant ces quatre dernières années, j’ai volé à peu près pour un demi-million de dollars.  J’allais partout où je pouvais, vidant parfois un appartement de tous ses meubles et vêtements. Je volais dans les magasins et les camions-livreurs.  Je ne puis compter les fois où Pauline et les trois fillettes ont attendu en vain de longues heures – et parfois des jours – mon retour à la maison. La femme d’un drogué tient peu de place dans la vie de son mari. Les désirs normaux pour le succès, la réussite, les plaisirs physiques, même le sexe et la nourriture sont amortis par la drogue. Lorsque le drogué émerge de ses courtes périodes de bonheur artificiel et se trouve en face de la terrible réalité, le seul moyen d’y échapper est de tuer sa honte par une nouvelle piqûre. Ainsi le cercle sans fin continue, empirant chaque fois.  Un soir je me trouvais, je ne sais pourquoi, dans un bus de la ville. J’allai au fond et m’assis sur quelque chose d’inconfortable. Je regardai et découvris un petit livre noir. Quand je sortis en titubant pour rentrer chez moi, je l’emportai. Je découvris plus tard que c’était une Bible. Je n’avais aucune intention de la lire, mais quelque chose me la fit glisser dans le tiroir de dressoir. Je ne pensais guère que six mois plus tard je lirais ce petit livre noir pour trouver la libération de mon esclavage.  Je devenais désespéré. Dès le moment où je m’éveillais et jusqu’à ce que mon corps torturé par l’anxiété tombe dans la stupeur du drogué, j’étais uniquement occupé à trouver les moyens de satisfaire mon insatiable désir de la drogue. Je me mouvais avec une effrayante fixité d’intention, vers le moment où la piqûre de l’aiguille donnait le signal de la libération de tous les problèmes que je ne pouvais résoudre. Pour une heure ou deux je sommeillais dans un plaisante euphorie, puis les symptômes revenaient et il me fallait de nouveau penser à trouver plus d’argent pour acheter un paquet de poudre blanche et le cycle continuait sans arrêt, implacable. Il semblait qu’il n’y avait pas d’espoir ni de moyen de jamais y échapper.  Par un brillant dimanche matin de mars 1965, je sortis de la maison pour chercher Campbell, mon fournisseur, un compagnon de la drogue à peu près de mon âge. Normalement, la relation entre le drogué et son fournisseur, c’est la brève et secrète rencontre d’un acheteur et d’un fournisseur pour une « opération » commerciale concernant le petit paquet de cellophane. Mais il y avait longtemps que je connaissais Campbell et nous étions devenus des amis.  Je me traînais le long de la rue, malade, vomissant, criant au secours dans mon cœur. Je dus m’arrêter plusieurs fois et m’appuyer contre les bâtiments, faisant des efforts pour  vomir, jusqu’à ce que les spasmes passent et que je puisse continuer mon chemin en titubant. Tout le monde paraissait heureux, tous, excepté moi.  Je rencontrai Campbell chez lui.  « Hé, Nick ; dit-il, sais-tu quoi ? Il y a une dame au temple de l’Angélus qui va parler de Dieu. J’ai déjà été dans ses réunions. Je crois qu’elle peut nous délivrer. Cela m’en coûtera car tu es mon meilleur client. Mais Nick, tu mourras si tu continues ainsi. Allons-y, d’accord ? Peut-être priera-t-elle pour nous deux et nous serons libérés de cette habitude. »  Je n’étais pas d’humeur à écouter son babil insensé. Je lançai mon argent sur la table et, saisissant Campbell par la chemise, je le secouai pour qu’il me donne l’héroïne. Campbell s’aperçut de mon état désespéré et sortit la poudra et tout l’attirail pour faire la piqûre.  Je déchirai violemment le haut du paquet et versai le contenu dans une cuillère. Campbell apporta un compte-gouttes, je mêlai quelques gouttes d’eau à la poudre. Campbell tint une allumette sous la cuillère jusqu’à ce que la poudre fût dissoute. De ma ceinture je fis un rapide garrot au haut de mon bras. La grande veine de mon coude était bien visible, ainsi que les centaines de petits points noirs des innombrables piqûres précédentes.  Comme je l’avais fait tant de fois dans le passé, je poussai la tête de l’aiguille hypodermique dans la veine. Lentement, très lentement, je remplis le compte-gouttes et fis tomber le clair liquide dans l’ouverture de l’aiguille métallique, puis je pinçai le veine pour que cela pénètre dans le système sanguin.  Immédiatement je sentis une vague de calme et de paix passer en moi. Mon tremblement s’arrêta. Je me calai sur la chaise et allumai une cigarette. Je restai assis un long moment à la façon caractéristique des drogués qui ont trouvé un soulagement momentané.  « Hé, Campbell, dis-je finalement, que m’as-tu dit de cette dame prédicateur ? »  « Oui, dit Campbell, j’ai été  à quelques-unes de ses réunions. Elle est formidable ! Pense, il y a des types qui sont guéris de toutes sortes de choses ! Il faut le voir pour y croire. Je parie que si elle mettait ses mains sur toi, tu serais délivré. Veux-tu y aller ? »  J’avais tout essayé mais rien n’avait réussi. Et le désespoir était en train de me tuer. J’étais d’accord de tout essayer, même cela.  Ainsi ce soir-là, Campbell et moi nous nous trouvâmes sur la galerie du grand Angélus à Los Angeles. De toutes ma vie je n’avais jamais assisté à une réunion dans un église. Je n’avais même jamais entendu l’évangile.  Le temple était bondé de monde. Je n’avais jamais vu une telle foule. Tous louaient Dieu. Quant au sermon… il m’était difficile de le comprendre. En fait je n’écoutais même pas. L’effet de la piqûre commençait à s’atténuer et je ressentais de nouveau ce sentiment intense, anxieux, qui saisit un drogué avant qu’il ait besoin d’une autre piqûre.  Soudain Campbell me poussa du coude. « Hé !Nick, c’est l’appel. Viens, descendons. Elle priera pour toi et mettra ses mains sur toi et tu seras libre. Allons-y ! »  Je hochai la tête, mais il persista et nous nous mîmes en marche, descendant les escaliers jusqu’au vestibule, et nous continuâmes le long de l’allée devant l’auditorium.  A mi-chemin je reculai. Campbell saisit mon bras : « Hé !qu’est-ce qui te prend ? Tu ne peux pas revenir en arrière maintenant. Tout le monde te regarde. Allons de l’avant ! »  J’acquiesçai à regret mais pus me cacher tout derrière la grande foule qui s’était amassée là durant l’appel.  Soudain, la foule sembla s’ouvrir et je vis Miss Kuhlman me fixant. « Vous », dit-elle en pointant son doigt vers moi, « Vous, jeune homme. Vous avez besoin de Jésus. Si vous voulez venir ici, je serai heureuse de prier pour vous. » Je regardai de tous côtés. Elle ne pouvait pourtant pas me parler à moi. Je ne savais pas même qui elle était ni ce que je faisais là. Mais elle continuait à pointer son doigt dans ma direction. Elle commença à venir vers moi en me faisant signe avec ce même doigt d’avancer. J’essayai de me détourner pour me sauver, mais la foule se pressait derrière moi, il n’y avait pas moyen de m’enfuir.  « C’est à vous que je parle, jeune homme », dit-elle encore avec autorité. « Venez ici, je veux prier pour vous. »  Je marchai à travers cette foule de gens. Elle s’arrêta devant moi, mit ses mains sur ma tête et commença à prier. J’étais par terre avant de m’en être rendu compte. Je me remis sur pieds, regardai vers Miss Kuhlman d’un air effrayé et bondis à travers la foule jusque vers Campbell.  « Viens donc, lui dis-je, sortons d’ici. Je ne puis endurer cela. Cette femme me tracasse. Il me faut une piqûre. »  Je chancelais encore sous l’effet de ce terrible flot de puissance qui avait traversé mon corps. Mais plus encore, j’étais effrayé comme je ne l’avais jamais été de ma vie.  Nous retournâmes chez Campbell qui me fit une piqûre. Mais elle ne me fit aucun effet et je l’obligeai à m’en faire une seconde. « Nick, cela dépasse la dose, tu en mourras. »  « Il me la faut, dis-je, quelque chose m’est arrivé et il me faut une piqûre pour me calmer. »  Cette nuit-là, j’eus des cauchemars. A tout moment je m’éveillais en criant. Je me souvins de la Bible, et je me dirigeai en chancelant vers l’armoire et fouillai dans les affaires jusqu’à ce que je l’aie trouvée. Pauline alluma la lumière ; je m’assis au bord du lit ouvris le livre et commençai à lire. C’était l’Apocalypse. Je ne comprenais pas ce que je lisais mais je lus tout le livre. Puis, Pauline et moi avons passé le reste de la nuit à causer. Elle sentait que quelque chose de grand venait de se passer dans ma vie, quelque chose d’effrayant et de sacré, mais elle et moi ne savions comment nous y adapter.  « Si quelque chose m’arrive, dis-je, je ne suis pas prêt. »  « Prêt pour quoi, Nick ? », demande-t-elle.  « Je ne suis pas prêt à mourir, soupirai-je, et je crois que je vais mourir. »  « Comment fait-on pour être prêt à mourir ? », demanda-t-elle, les yeux pleins de larmes.  « Je ne sais pas, je ne sais pas », criais-je, et je tombai à travers le lit, frappant le matelas du poing. « Tout ce que je sais c’est que je ne suis pas prêt à mourir. »  Cela continua ainsi pendant trois mois, jusqu’à ce que je crus en devenir fou. Je dépensais cent dollars par jour pour de l’héroïne, ne mangeant que ce que Pauline m’obligeait à avaler. Je ne le savais pas alors, mais dès le moment où Miss Kuhlman avait posé ses mains sur moi, le Saint-Esprit avait commencé à travailler dans ma vie. Je réalise maintenant qu’il y avait longtemps qu’il le faisait.  Il m’avait fait trouver cette Bible. Il m’avait conduit auprès de Campbell. Il avait influencé celui-ci pour qu’il me conduise à ce service. Mais ce soir-là, le Saint-Esprit était entré dans ma vie et j’étais, comme je le comprends maintenant, sous une conviction de péché.  Je m’échappais, je me débattais, je luttais aussi fort que je le pouvais. Cependant, comme Saul sur le chemin de Damas, débattez-vous aussi longtemps que vous voulez, il vous faut vous courber une fois devant Dieu.  Ainsi, le premier soir de l’été, je montais les escaliers de Teen Challenge à Los Angeles. Je savais que là, des personnes s’étaient vouées à aider des drogués à se débarrasser de leur vice. Je ne savais pas comment ils s’y prenaient. Je ne savais rien d’eux. Tout ce que je savais, c’est que j’avais besoin d’être libéré et on m’avait dit qu’ils m’aideraient.  Au moment où je passai la porte je sentis la puissance du Saint-Esprit de nouveau sur moi comme cette nuit-là dans le temple de l’Angélus. Et ce qui avait commencé ce soir-là, dans ce service de Kathryn Kuhlman trois mois auparavant, fut achevé à Teen Challenge lorsque je fus délivré. « Cold turkey ».  Je restai là deux mois, me fortifiant spirituellement et physiquement. Pauline salua un nouvel homme lorsque je rentrai à la maison.  Depuis lors, Pauline et les trois fillettes ont donné leur cœur au Seigneur. Un homme d’affaires chrétien me donna un emploi dans son magasin de machines. Je n’avais jamais travaillé auparavant. Je n’en avais pas le temps, j’étais trop occupé à voler. Mais mon nouveau patron réalisa qu’il me fallait du temps pour apprendre à travailler et il fut patient avec moi. Il me laissa du temps libre pour prêcher et rendre témoignage à d’autres de la merveilleuse grâce de Dieu. Récemment, je me suis enrôlé dans une école biblique pour parfaire ma connaissance de la Parole de Dieu.  Ma plus grande joie est d’assister une fois par mois au service de miracles du Shrine. Lors d’une récente réunion, j’étais sur la scène lorsque plus d’une centaine de hippies répondirent à une invitation spéciale. Ils venaient de la galerie et s’attroupaient sur la plate-forme, livrant leur au Seigneur Jésus. Ce fut un moment émouvant lorsque le Saint-Esprit, passant ) travers cette masse de gens, toucha les vies et les cœurs. Des jeunes gens aux grandes barbes embroussaillées et cheveux tombant sur les épaules, et des jeunes filles en costume indien jusqu’à terre et cheveux longs jusqu’à la taille, vinrent et se tinrent en un grand demi-cercle sur la scène.  Miss Kuhlman passait vivement à travers la foule imposant les mains et priant. Plusieurs garçons et filles tombèrent sous la puissance de Dieu, puis se relevèrent en se jetant dans les bras l’un de l’autre pleins de joie.  Je remarquai une fille en particulier, n’ayant certainement pas plus de treize ans, serrant sur sa poitrine un petit bébé nouveau-né. Elle était comme tous les autres, pieds nus, longs cheveux et costume indien ; ses yeux étaient pleins d’une indescriptible tristesse en serrant ce petit bébé contre elle.  Ensuite Miss Kuhlman me demanda de les conduire dans une pièce à côté où nous pourrions parler et prier.  Tandis que nous descendions de la plate-forme, plusieurs d’entre eux levaient leurs doigts en « V », signe qui est populaire parmi les enfants de la fleur. « Aujourd’hui, ce signe a pour eux une nouvelle signification », pensai-je.  Après le service, un sceptique de mes amis hochait la tête : « Cela ne tiendra pas, Nick », dit-il. « Ces gamins n’ont pas la moindre idée de ce qu’ils font. Ils sont venus pour faire comme les autres. C’est sûr, le puissance est tombée sur eux mais cela passera. Attendez et vous verrez. »  Je ne discutai pas avec lui, mais je pensais à ce qui m’était arrivé il y a un peu plus de trois ans quand la même chose m’était arrivé. Moi non plus je n’avais aucune idée pourquoi je m’avançais. J’y allais seulement parce que quelqu’un m’y obligeait. J’étais tombé sous la puissance et ne savais ce qui m’arrivais. Je n’avais personne pour me renseigner, ni école du dimanche ni pasteur pour me guider. Tout ce que j’avais, c’était la Bible trouvée dans le bus et le Saint-Esprit, mais cela n’a pas cessé chez moi et ne le fera jamais. Non, jamais !  Je pense souvent à Campbell. Ila disparu des lieux qu’il hantait et je ne l’ai plus revu depuis ce soir-là au temple de l’Angélus. Pour autant que je le sache, il vit encore dans ce terrible enfer de la drogue.  De tout mon cœur, j’aimerais adresser un appel personnel à Campbell, où qu’il soit :  « Campbell, il y a de l’espoir pour toi. Je ne sais où tu es et ce que tu fais, mais  je t’aime. Watch UK online porn https://mat6tube.com/ Diana Dali, Patty Michova, Alina Henessy, Kira Queen etc. Et Dieu t’aime. Je sais, qu’Il le fait parce qu’Il m’a montré Son amour. Et s’Il peut m’aimer et me sauver, je sais qu’Il désire aussi faire cela pour toi, Campbell. Je ne puis exprimer la joie, la satisfaction, la paix et l’abondance de vie que je possède en Christ. La drogue n’est rien en comparaison de ce que Christ peut te donner le plaisir ne peut être comparé à la puissance et à l’aventure du Saint-Esprit. Dieu t’aime, Campbell, et Il désire que tu livres ta vie à Jésus-Christ et que tu naisses de nouveau. Tu n’as pas besoin d’aller à un service de Kathryn Kuhlman. Tu n’as pas besoin qu’elle t’impose les mains. Tout ce dont tu as besoin c’est de Jésus et Il est juste à côté de toi maintenant. Où que tu sois, Campbell, si tu veux seulement te tourner vers Lui et Le recevoir, Il viendra dans ton cœur et te changera. Oh ! Campbell, viens à Lui… Maintenant. »